Auteur : Henri Kichka
Parution : 11/05/2023
Pages : 192
Format : 12 x 18
Version POCHE
« Le 10 Mai 1940 toute mon existence a basculé. 1150 jours en enfer dans onze camps de la mort, ainsi que la disparition tragique de tous les miens m’ont marqué à jamais. Soixante ans plus tard, sur les conseils de ma fille cadette Irène, je me suis enfin décidé à coucher sur le papier mon douloureux périple. Servi par une mémoire sans faille, mon but n'est pas d’apitoyer les lecteurs, mais surtout - dans un monde en totale dérive - de les mettre en garde contre ce mal récurent, la haine et l’esprit du mal. » Préfacé par Serge Klarsfeld et par André Flahaut, le récit d’“Une adolescence perdue dans la nuit des camps” est une belle leçon de courage et d’endurance aux pires traitements inhumains. Et un antidote contre le retour de la haine et l’esprit du mal... Christian Laporte, La Libre Belgique “Une adolescence perdue dans la nuit des camps” se dévore comme un livre d’exception, comme un témoignage hors du commun que salue dans sa préface Serge Klarsfeld, le pourfendeur français des bourreaux nazis [...]. Marc Vanesse, Le Soir
Auteur : Henri Kichka, né le 14 avril 1926 à Bruxelles et mort le 25 avril 2020 dans la même ville, est un survivant belge des camps d'extermination nazis, issu d'une famille juive d'origine polonaise. Il est le seul de sa famille à avoir survécu à la déportation des Juifs de Belgique. Au début des années 1980, il commence à témoigner auprès des plus jeunes accomplissant un « devoir de mémoire ». En 2005, il écrit son autobiographie Une adolescence perdue dans la nuit des camps préfacée par Serge Klarsfeld